Retour sur l’assemblée générale du 20 mars 

Les personnes qui n’ont pas eu la possibilité de se joindre à nous lors de l’AG du 20 mars trouveront ici un résumé des grandes lignes.  

Informations diverses 

Danny Lassiseraye a d’abord informé l’assemblée sur les sujets suivants :  

  • Rétroaction salariale : Les comités œuvrant à la réécriture des articles de la convention et à la répartition des ressources devraient terminer leur travail le 31 mars. La signature de la convention ne peut se faire avant la fin de ces travaux. Ensuite, la partie patronale dispose de 120 jours (4 mois) après la signature de la convention pour nous verser les sommes dues. Nous pensons que la partie patronale risque d’utiliser le temps qui lui est imparti. La rétroaction salariale sera substantielle, puisque le délai depuis l’échéance de la dernière convention est important. Par ailleurs, nous savons que la direction fait des démarches pour que les ressources allouées, dont celles pour Éducation physique (NES), Soins infirmiers et le Kir négatif soient disponibles dès la session d’automne.  
  • Projet sur la lourdeur de la tâche et groupes de discussion : Le syndicat aura besoin d’une bonne participation aux groupes de discussion. Les dates qui touchent à la réflexion sur la tâche enseignante sont les suivantes : 27 et 28 mai, 3 et 4 juin. Les coordinations ont déjà reçu une première communication à ce sujet. Il s’agira de cerner les éléments qui causent un alourdissement de la tâche, pas seulement dans le quotidien, mais aussi dans les structures telles que l’approche programme.  Les coordinations, pour leur part, seront sondées sur leur réalité lors d’un groupe de discussion le 2 mai.  
  • Sondage bilan des négos : nous vous invitons à répondre au sondage qui vous sera bientôt envoyé par courriel (mois d’avril) par la FEC sur les négos afin de nous aider à dresser un bilan représentatif.  

Présidence d’élection 

Marianne Bouchard-Landry a été élue à l’unanimité à la présidence des élections qui auront lieu le 10 avril pour combler les effectifs du bureau syndical. 

Une deuxième présidence d’élection est à prévoir pour les comités paritaires et les comités formés par le collège.  

Changement aux statuts : renouvellement des mandats en cas de perte d’expertise 

Après quelques amendements, la proposition de modification envoyée par courriel aux membres le 6 mars a été acceptée à l’unanimité. L’article 4.13 de nos statuts se lit désormais comme suit :  

Une personne qui a effectué ses 5 mandats et dont le départ entraîne une perte d’expertise jugée significative à plusieurs postes du bureau syndical est autorisée à soumettre de nouveau sa candidature pour un mandat supplémentaire. Cette disposition exceptionnelle s’applique autant de fois que nécessaire, tant que la situation de perte d’expertise n’est pas résorbée. L’Assemblée générale doit reconnaître par un vote à majorité simple que la perte d’expertise anticipée est bien significative. 

Préoccupations des membres 

Voici les préoccupations soulevées par les membres. Si vous en avez d’autres, communiquez avec nous.  

  • Avec l’arrivée du nouveau programme en médecine nucléaire, des professeur.es devront se former et les libérations adéquates devront suivre.  
  • Le budget alloué pour l’achat de fournitures de bureau (papier, crayons, stylos, etc.) par les départements n’a pas été augmenté à la hauteur de l’inflation et les sommes ne suffisent plus à couvrir les dépenses. Certains achats qui étaient avant payés par le collège doivent maintenant être assumés par les budgets départementaux. 
  • Afin de répondre à la hausse de la clientèle, la cible gouvernementale pour Sainte-Foy en matière d’admissions se chiffre à 8000 étudiant.es. Les infrastructures en place ne nous permettent pas d’atteindre cette cible.  
  • Les communications ont oublié d’émettre un avis permettant de réintégrer le bâtiment après l’évacuation de la semaine passée. Le canal de communication n’est pas toujours le même (Omnivox, courriel) et l’intensité de l’alerte n’est pas toujours cohérente avec la gravité de la situation. 
  • Un bris dans le plancher d’une salle de cours (G-271) cause des risques de chute. 
  • Le nombre de réunions élevé les mercredis midi entraîne des conflits d’horaire.