Archives de catégorie : Comité des verts
Pourquoi composter
Pourquoi devrions-nous composter au Cégep de Sainte-Foy?
La société québécoise croule sous ses déchets. Les dépotoirs se remplissent à une vitesse sans précédent et quoi de mieux que de gaver l’incinérateur pour pulvériser les déchets à même notre air. Plusieurs intervenants du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) sur la gestion des résidus ultimes nous le confirment, notre système est brisé et nous pelletons tous ces déchets vers le futur de nos enfants.
Refuser, réduire, réutiliser, réparer, recycler et composter
Afin de corriger la situation, nous avons toutes et tous besoin de nous adapter et de modifier nos comportements. La première étape est de pouvoir dire NON et refuser tous les produits inutiles et suremballés. La deuxième étape est de réduire notre consommation de biens, plus particulièrement des produits mauvais pour notre santé et celle de la planète (ex. : aliments aspergés de glyphosate, voyages en avion et viande rouge). En troisième, opter pour le réutilisable (tasse, ustensile, assiette, sac et gourde) et délaisser le jetable. En quatrième, réparer les appareils défectueux (il nous faut un café réparation au Cégep de Sainte-Foy et une loi qui protège les consommateurs). En cinquième, penser à recycler (action qui, je crois, est bien ancrée dans notre communauté) et finalement composter, donc rendre à la terre, les matières organiques et éviter le gaspillage alimentaire.
Il est clair que le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas.
Neuroscience
Le docteur Andrew B. Huberman, neuroscientifique américain, nous informe que le fait de se retenir de consommer est bénéfique pour une meilleure gestion de notre dopamine et favorise la neuroplasticité et la santé de notre cerveau. En suivant une éthique de la sobriété, la planète et notre santé mentale s’en porteraient mieux.
Pourquoi composter?
Ces matières organiques se retrouvent à la poubelle, mais ne sont pas des déchets. Vos pelures de bananes, cœurs de pommes, rognures d’oignons et restes de table peuvent être transformés en or brun, un compost riche et utile pour le jardinage et la biodiversité. Si ces matières se retrouvent dans nos dépotoirs, elles créent du lixiviat toxique et sont perdues à jamais. De plus, en décomposition anaérobique, elles produisent du méthane, un gaz à effet de serre 28 à 34 fois plus puissant que le CO2, qui contribue au dérèglement climatique.
Le graphique suivant présente la composition du bac à ordures d’un Québécois :
Composter permettrait une réduction de plus de 50 % du poids de nos déchets!
Imaginez
Imaginez détourner 50 % du poids des déchets de notre communauté afin de produire de l’or brun et de préserver nos espaces verts et notre air pur. Quelle fierté de savoir que nous posons la bonne action pour les générations actuelles et futures!
Attendre la Ville de Québec?
La Ville de Québec est en retard de 20 ans sur le sujet et nous pouvons supposer que la gestion des matières organiques résiduelles ne sera pas offerte pour quelques années encore. Soyons sérieux et dès cette année prenons nos responsabilités afin de détourner les matières organiques de nos dépotoirs. Réduisons le poids de nos déchets de 50 % et alignons nos valeurs avec celles de la justice climatique.
Notre responsabilité institutionnelle est simple : passons à l’action et compostons!
Passons à l’action
Le plan pour détourner nos matières organiques des dépotoirs se découpe en 5 étapes :
- S’assurer que la Direction comprend l’urgence de la situation et les bienfaits pour notre planète et libérer un budget initial.
- Lancer une étude de caractérisation de nos déchets. Évaluer la quantité de déchets générée et identifier les sources de matières organiques et leur emplacement. Cet exercice pourrait se faire en collaboration avec les étudiant·e·s.
- Lancer une campagne de sensibilisation et d’information sur les nouveaux bacs destinés au compostage.
- Engager une compagnie spécialisée dans le compostage à grande échelle. La plus proche est située à St-Henri-de-Lévis.
- Faire un suivi des matières et identifier les améliorations possibles.
Participez au court sondage afin de partager votre opinion sur la stratégie de gestion des matières organiques du Cégep de Sainte-Foy.
https://forms.office.com/r/LKwe4UhYU0
Sources
L’état des lieux et la gestion des résidus ultimes
Commission d’enquête du BAPE | Que faire de nos déchets ? | La Presse
- On enfouit 17 000 tonnes de déchets chaque jour, au Québec. L’équivalent de 140 locomotives de VIA Rail. Une commission d’enquête du BAPE s’amorce cette semaine sur la gestion de nos « résidus ultimes ».
- https://www.lapresse.ca/actualites/environnement/2021-03-08/commission-d-enquete-du-bape/que-faire-de-nos-dechets.php
Lixiviat
Change Your Brain : Neuroscientist Dr. Andrew Huberman | Rich Roll Podcast – YouTube
Guillaume Simard
Activiste climatique, biophile et photographe amateur
Atomrace.com et RevolvAir.org
Enseignant en informatique
Cégep de Sainte-Foy
Ambition environnementale au cégep
Ambitions vertes au Cégep de Sainte-Foy
La dernière rencontre du Comité d’action et de concertation en environnement (CACE) a été très riche en échanges. Il a été question de canopée et de gaz à effet de serre (GES) : deux sujets en lien direct avec la santé de notre communauté tout comme celle de la planète. Il est clair que tous les membres du CACE veulent bien faire et ont de bonnes intentions, mais nous faisons face à un mur appelé L’ARGENT!
La justice climatique exige que nous cessions l’utilisation des énergies fossiles le plus rapidement possible si nous voulons demeurer sous la barre de 1,5 degré Celsius d’augmentation de la température moyenne de la planète. Pourtant, le système de chauffage de notre cégep fonctionne encore au gaz naturel et les travaux de mise à niveau ne remettent toujours pas en question ce mode énergétique. La géothermie et l’électricité ont été écartées des options accessibles financièrement. Malheureusement, le gaz devrait donc être utilisé encore pour une quinzaine d’années. L’électrification des transports, OUI! Mais à quand l’électrification des cégeps, des universités et des édifices gouvernementaux? Ces édifices polluent notre air et sont à contre-courant de la justice climatique.
De plus, la canopée (zone du territoire qui correspond à la cime des grands arbres) n’est pas suffisante. Une évaluation de 2019 affirme que notre ratio de canopée n’est que de 5,9 % (voir image ci-dessous), alors que l’Association québécoise des médecins pour l’environnement (AQME) précise dans son mémoire qu’il faudrait viser 40 %. Selon l’AQME, la présence d’une canopée urbaine optimale permettrait de diminuer plusieurs problèmes de santé vécus par les citoyennes et citoyens, dont le stress, la dépression, l’autisme, le diabète, l’hypertension et l’obésité, pour ne nommer que ceux-là. Il faut bien admettre que les promenades dans un stationnement ne sont pas des plus réjouissantes.
Notre responsabilité à toutes et à tous est grande et les attentes de nos étudiantes et étudiants sont très élevées. Il est vivement souhaitable, voire indispensable, que notre nouvelle directrice générale s’investisse dans un des plus grands défis de l’histoire du Cégep de Sainte-Foy et, plus globalement, même dans ceux de l’humanité. Nous souhaitons donc qu’elle mette en place un plan d’envergure afin de garantir et d’améliorer la santé de notre communauté tout en portant des actions extrêmement ambitieuses pour respecter la justice climatique et son éthique.
Guillaume Simard
Enseignant en informatique
Mémoire de L’Association québécoise des médecines pour l’environnement (AQME)
https://quebecarbres.org/wp-content/uploads/2020/07/Memoire-AQME-BAPE-Reseau-structurant-VdeQc-PG-VF1.pdf
Appel de candidature_Comité des verts
Le Comité des Verts : appel de candidature
Vous êtes préoccupé.e.s par les questions relatives à la qualité de l’environnement ? Le Comité des Verts, comité paritaire du SPCCSF, invite les professeur.e.s intéressé.e.s à joindre ses rangs pour l’année 2018-2019 !
Si ce comité vous intéresse, contactez Édith Pouliot, professeure de Sociologie et membre du Bureau syndical du SPPCSF : Bureau C-170.17, poste 2423.
Coûts sociaux_transport automobile
Le coin des Verts : les coûts sociaux du transport automobile
Voici, en prévision du jour de la Terre, le troisième texte que vous présente le comité des Verts du SPPCSF.
Les coûts sociaux du transport automobile
Un texte de Sophie Descôteaux
Une question importante anime notre ville (et plusieurs autres!) depuis un bon moment et encore aujourd’hui : faut-il retravailler constamment le réseau routier pour répondre aux besoins grandissants des automobilistes ou faut-il investir dans les transports collectifs et dans l’aménagement urbain pour inciter le plus de gens possible à de déplacer à pied, à vélo ou en transport en commun ? Les avis sont bien sûr très partagés et suscitent même souvent de vives discussions.
Et si la question était posée autrement ? Si l’on se demandait quelle option (plus de routes ou plus de transports collectifs et actifs) représente le plus faible coût pour la collectivité ?
Un ingénieur des transports de la région de Vancouver, George Poulos, a analysé les données issues d’un calculateur de coûts associés au navettage des travailleurs de la zone métropolitaine[1],[2] vancouvéroise. M. Poulos en arrive à la conclusion que le coût associé à l’utilisation de la voiture comme méthode pour aller travailler est nettement plus élevé que les autres modes de transport.
Voici une présentation simplifiée des résultats de M. Poulos, tirée du Journal de Québec[3] :
- Si marcher vous coûte 1 $, la société paie 0,01 $
- Si vous déplacer à vélo coûte 1 $, la société paie 0,08 $
- Si prendre le bus vous coûte 1 $, la société paie 1,50 $
- Si utiliser la voiture vous coûte 1 $, la société paie 9,20 $
Pour chaque énoncé ci-haut, le coût « personnel », à gauche, est associé, par exemple, à l’achat d’équipement (chaussures, vélo, voiture) et à son entretien (réparation, essence, pneus, etc.), ou tout simplement au coût des droits de passage pour le transport en commun.
Les coûts estimés pour la société (les montants à droite) incluent quant à eux les impacts de la congestion, les conséquences de la pollution (qualité de l’air, conséquences des sels de déglaçage, etc.) et les frais de maintien des infrastructures routières[4].
Ainsi, selon les estimations précédentes (que l’auteur reconnaît comme n’étant pas parfaites), l’utilisation de la voiture serait environ 6 fois plus coûteuse pour la société que l’utilisation de l’autobus et respectivement plus de 100 et 900 fois plus coûteuse que le vélo ou la marche.
L’économiste et spécialiste en aménagement du territoire et développement régional, Jean Dubé, chercheur à l’Université Laval, regrettait récemment3, dans le contexte des discussions sur le 3e lien entre les deux rives à Québec, que les coûts associés à l’utilisation de la voiture, pour la société, soient « complètement évacués » du débat. En outre, il déplorait alors que les détracteurs des transports en commun refusent de payer pour ces services qu’eux-mêmes n’utilisent pas.
En guise de conclusion, voici un lien vers une infographie qui donne une bonne idée de coût personnel que représente le navettage par voiture : http://www.investmentzen.com/news/the-true-cost-of-car-commuting-to-work-hint-its-a-lot-more-than-you-think/
La situation décrite dans cette infographie est bien sûr adaptée aux États-Unis, et contient probablement elle aussi quelques chiffres qui mériteraient d’être vérifiés, mais elle nous fait tout de même réfléchir.
[1] https://www.thediscourse.ca/cities/full-cost-commute
[2] https://www.citylab.com/transportation/2015/04/the-social-costs-of-driving-in-vancouver-in-1-chart/389805/
[3] http://www.journaldequebec.com/2017/05/01/privilegier-lautomobile-coute-tres-cher-a-la-societe
[4] https://pricetags.ca/2014/09/03/george-poulos-comprehensive-costs-of-transportation-in-vancouver-1/
Gestion_matières recyclables
Le coin des Verts !
Durant le mois d’avril, en prévision du Jour de la Terre (le 22 avril), le comité des Verts du SPPCSF vous propose quelques chroniques à vocation informative à propos de divers enjeux écologiques et environnementaux. Voici le premier de ces articles.
La gestion des matières recyclables : ça commence avant le bac !
La préservation des ressources et de l’environnement commence souvent par des choix individuels et de petites modifications aux gestes quotidiens. À ce titre, vous faites probablement votre effort lorsque vous êtes au cégep en effectuant le tri de vos déchets en vous servant des postes de tri : les papiers dans le bac bleu, les restes de table dans la poubelle, la canette de jus de légumes dans le bac bleu, le petit contenant de yogourt dans… dans quoi, déjà ?
Pour vous aider à faire une gestion des déchets qui permet de récupérer davantage de matières recyclables, au cégep comme à la maison, nous vous offrons aujourd’hui quelques conseils.
S’informer
Toutes les municipalités n’ont pas les mêmes lignes directrices dans la gestion des déchets et des matières recyclables. Certaines, par exemple, font la collecte du polystyrène pour fins de recyclage, tandis que d’autres le considèrent comme un déchet à enfouir/incinérer. Vous pouvez, afin de vous assurer que les bonnes matières vont au bon endroit, consulter les lignes directrices de votre municipalité en ce qui concerne la gestion des matières résiduelles. Au cégep, puisque nous sommes dans la ville de Québec, nous suivons le cadre suivant :
https://www.ville.quebec.qc.ca/gens_affaires/environnement/docs/commerces_matieres_et_objets.pdf
Nettoyer
Vous avez vérifié et c’est confirmé : votre contenant de yogourt de 750 g est recyclable ! Toutefois, avant de le déposer dans le bac bleu, rincez-le sommairement afin qu’il ne contamine pas les autres matières recyclables, à plus forte raison si vous déposez ledit pot de yogourt dans un bac bleu rempli de papiers ! En effet, il arrive souvent que le contenu d’un bac de recyclage soit finalement envoyé à la poubelle parce que, par exemple, un gobelet contenant encore du café y a été jeté. Attention : il ne s’agit pas de nettoyer parfaitement tout ce qui va au recyclage, mais bien de prévenir la contamination des autres matières.
À la maison, si vous souhaitez nettoyer vos contenants recyclables sans gaspiller de l’eau, vous pouvez profiter de la fin de votre corvée de vaisselle en immergeant les contenants dans l’eau savonneuse avant de vider l’évier, quand vous avez fini.
Diffuser
Si le cœur vous en dit et si la cause vous interpelle, vous pouvez faire circuler cet article ou le fichier qui y est joint. Chaque petit geste compte, après tout !
Distribution de fines herbes_2017
Rappel – Manger local à l’occasion du Jour de la terre
Le 22 avril prochain est le Jour de la terre. À cette occasion, le Comité des Verts du SPPCSF vous offre de la verdure fraiche et locale pour verdir votre intérieur et garnir vos assiettes!
Près de 300 plants de fines herbes seront distribués gratuitement, vendredi le 21 avril, dans le dégagé de l’aile A (près de la Margelle) entre 9 h et 12 h. Venez chercher votre basilic, coriandre ou cresson pour aromatiser vos plats.
Les plantes ont été produites dans les locaux du cégep par des étudiant.e.s en Techniques de bioécologie. Ces étudiant.e.s financeront par la suite un voyage étudiant au Nicaragua en vendant des plants de tomates et autres légumes au mois de mai.
Arrivez tôt : premiers arrivés, premiers servis !
Et n’oubliez pas : poser un geste concret le 22 avril c’est bien, mais tous les jours, c’est encore mieux !
Le Comité des Verts du SPPCSF (FEC-CSQ)
Don d’arbres_2016
Rappel – Don d’arbres
Le 20 mai, de 10 h à 14 h, dans le dégagé de l’Aile A
À l’occasion du mois de l’Arbre et des forêts, le Comité des verts du Syndicat des professeurs, en collaboration avec l’Association forestière des 2 rives (AF2R), vous offre encore cette année des plants d’arbres gratuits. Cette initiative vise notamment à rétablir l’équilibre écologique que notre consommation de papier fin affecte. Pour compenser notre utilisation de papier et la production de nos gaz à effet de serre, nous désirons soutenir cette année la plantation de près de 500 arbres. Par cette activité, nous souhaitons également favoriser le reboisement des milieux urbains et semi-urbains.
500 arbres…environ 10 essences de feuillus et de conifères seront disponibles.
Des sacs de plastique pour le transport de vos plants sont offerts par l’AF2R, mais nous vous suggérons d’apportez vos sacs récupérés ! Des explications sur les essences des arbres choisis et des conseils de plantation seront disponibles au kiosque.
Projet Un Arbre – Une Vie
Dix (10) enfants du CPE La Grosse Tortue ainsi que leur éducatrice seront des nôtres à 9h30 et distribueront avec joie les plants de chêne qu’ils ont patiemment fait pousser cet hiver. Ils y tiendront un kiosque identifié à l’organisme Un Arbre – Une Vie. Nous vous invitons à les encourager en récupérant un de leurs plants. Vous devrez également vous engager à le planter pendant l’été.
Le comité des Verts
Syndicat des professeurs du Cégep de Sainte-Foy
Jour de la Terre_Manger local
Rappel – Manger local à l’occasion du Jour de la Terre
Le 22 avril prochain est le Jour de la Terre. Pour cette occasion, le Comité des Verts du Syndicat des professeurs vous offre de la verdure fraîche et locale pour verdir votre intérieur et garnir vos assiettes.
Plus de 400 plants de fines herbes seront distribués gratuitement dans le dégagé de l’aile A entre 9 h 30 et 13 h. Venez chercher votre basilic thai, citronné, pourpre, à grosses feuilles, persil plat, romarin pour aromatiser vos plats.
Les plantes ont été produites dans les locaux du cégep par des étudiant.e.s en Techniques de bioécologie. Ces étudiant.e.s financeront par la suite un voyage étudiant au Nicaragua en vendant des plants de tomates au mois de mai (6, 13, 20 et 25 mai).
Et n’oubliez pas, poser un geste concret…le 22 avril c’est bien, mais tous les jours, c’est encore mieux !
Joëlle Rondeau
Pour le Comité des Verts du SPCSF-FEC
VENDRE L’INVENDABLE_MYSTIFIER LE PUBLIC
MYSTIFIER LE PUBLIC POUR VENDRE L’INVENDABLE
Vous savez probablement que le Syndicat des professeurs du Cégep de Saint-Foy est partenaire de Coule pas chez nous, cette fondation qui a pour but d’informer la population sur les risques du transport des produits pétroliers par oléoduc. Puisque le dossier du transport par oléoduc semble un enjeu important pour les membres de notre syndicat, nous croyons important de vous informer de la tenue d’une conférence intitulée « Mystifier le public pour vendre l’invendable »présentée par le GIRAM (Groupe d’initiatives et de recherches appliquées au milieu).
Le GIRAM invite le public à venir écouter un spécialiste des communications, monsieur Bernard Dagenais, chercheur au Centre d’études sur la communication de risque et de crise et professeur émérite au Département d’information et de communication de l’Université Laval. Ce dernier expliquera comment les firmes de communication associées aux entreprises réussissent à faire accepter des projets inacceptables tels que le transport massif de pétrole par train, le port pétrolier sur le Saint-Laurent, l’oléoduc Énergie Est, l’agrandissement démesuré du Port de Québec, etc.
- Quand : Samedi, le 19 mars 2016
- Où : UQAR, Lévis, 1595 Boulevard Alphonse-Desjardins, Salle 2057
- Heure : 13 h 30
Programme : 13 h – 13 h 30 : Inscription.
13 h 30 : Conférence de Bernard Dagenais
14 h 15 : Période d’échange avec les participant.e.s
14 h 45 : Pause-café
15 h 00 : Rapport annuel et plan d’action 2016
17 h 00 : Clôture
Entrée libre, stationnement gratuit, prière de réserver : (418) 837-4262, fremillard@videotron.ca
Guillaume Simard
Pour le Comité des verts du SPCSF-FEC