Assemblée générale du 27 octobre
Nous vous convions avec plaisir à la troisième assemblée générale de l’automne 2021, le mercredi 27 octobre à 12 h 10, au local double J-216-218. Cette assemblée, qui portera sur le bilan des négociations, permettra à votre syndicat de recueillir des commentaires afin de mieux prévoir les négociations de la prochaine convention collective, dont les préparatifs se dessinent déjà à l’horizon.
Dans une formule proposant des ateliers en sous-groupes, vous serez amenés à vous exprimer de manière qualitative sur plusieurs aspects touchant les matières sectorielles (conditions d’exercice de la profession enseignante au collégial) et intersectorielles (salaire, retraite, droits parentaux et disparités régionales). Le SPPCSF a aussi ajouté quelques questions sur la mobilisation au local pour dresser son propre bilan. Votre présence à cette assemblée générale est donc particulièrement importante pour nous.
Apportez votre portable ! Il vous sera nécessaire afin de participer activement aux ateliers et d’inscrire vos réflexions dans le document collaboratif.
Au plaisir de vous y retrouver en grand nombre !
Les membres du bureau syndical
Rappel : questionnaire au sujet du bilan des négos
Vous avez reçu dans un courriel, daté du 21 octobre, un lien vers un formulaire contenant des questions fermées sur les négociations de la dernière convention collective.
Nous souhaitons vous rappeler l’importance pour nous de recevoir vos réponses avant l’assemblée générale du 27 octobre, lors de laquelle les questions seront approfondies en ateliers.
Le temps de réponse estimé est d’une dizaine de minutes.
Si ce n’est pas déjà fait, veuillez remplir le questionnaire au plus tard le 26 octobre 2021.
Merci de votre soutien!
Comité « Mobilisation et action pour la vitalité du cégep français »
La maîtrise de la langue française par la communauté étudiante a occupé une place de choix dans les discussions au sujet de la réussite au niveau collégial. Ces dernières semaines, l’utilisation du logiciel de correction dans les cégeps, le taux de réussite à l’épreuve uniforme, les « cours écueils » de la formation générale, l’attrait exercé par les cégeps anglophones sont autant d’enjeux qui ont fait la manchette. Force est d’admettre que la précarité du français est source de préoccupation. Loin d’être un sujet abstrait, cette précarité a des impacts sur la tâche enseignante.
Si vous avez à cœur le rayonnement de la langue française dans le réseau collégial, inscrivez-vous sans tarder dans un tout nouveau comité intitulé provisoirement « Mobilisation et action pour la vitalité du cégep français ». Le degré de participation peut être très variable : toutes les contributions sont les bienvenues!
Les personnes intéressées sont priées de communiquer avec Annie Lelièvre au sprofesseurs@csfoy.ca. Elles seront ensuite contactées pour une première rencontre du comité.
C’est un rendez-vous!
Le comité de mobilisation et d’action pour la vitalité du cégep français
Revue de presse
Dans Le Devoir, Tony Patoine, président du Comité des enseignantes et enseignants de philosophie et enseignant au cégep du Vieux Montréal, signe une lettre en réponse à la position de la Fédération des cégeps et de la ministre McCann sur les liens entre la réussite au niveau collégial et la maîtrise du français. Il rappelle l’attrait que les cégeps anglophones exercent sur les étudiant·e·s les plus performant·e·s et déplore que le groupe de travail qui analysera la maîtrise du français au collégial ne compte aucun·e enseignant·e.
Lucie Piché, présidente de la FEC-CSQ, répond, elle aussi, à la position de la Fédération des cégeps dans son article. Elle s’interroge notamment sur la pression pédagogique que subiront les professeur·e·s dans le cadre du Plan d’action pour la réussite de la ministre McCann. Elle rappelle l’expertise des professeur·e·s et certaines des raisons de la disparité entre les taux de réussite des cégeps francophones et anglophones.
Dans les pages du Devoir, les ministres Jean-Michel Blanquer et Jean-François Roberge (ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports de la France; ministre de l’Éducation du Québec) prennent position contre la culture de l’annulation.
Enfin, dans Le Journal de Québec, Alexandre Cantin revient sur la création, par les cégeps de l’Abitibi-Témiscamingue, de Lévis et de Sept-Îles, d’un programme d’AEC en technologies intelligentes, qui sera offert à compter de mars 2022.