Journée internationale des droits des femmes

Tournée des départements

Le 8 mars prochain, afin de souligner la Journée internationale des droits des femmes, le SPPCSF entreprendra une tournée des départements! Ce sera l’occasion de vous remettre une broche arborant le thème mobilisateur L’avenir est féministe et de vous donner un petit chocolat, puisque nous n’avions pas pu vous offrir cette douceur à la Saint-Valentin, en raison des mesures sanitaires. La tournée nous permettra aussi de recueillir vos dons, qui seront remis à l’organisme Violence Info. Cet organisme travaille à la prévention de la violence dans les relations amoureuses. Il apporte également du soutien en offrant des entrevues individuelles à des femmes âgées de 14 ans et plus vivant une relation violente.

Vous n’étiez pas au bureau lors de notre tournée? Passez nous rendre visite au local du syndicat afin de vous procurer une broche ou de nous offrir vos dons!

Panel virtuel L’avenir est féministe

Le Regroupement des groupes de femmes de la Capitale-Nationale (RGF-CN) vous invite le 7 mars à 17h au panel virtuel « L’avenir est féministe ». Plusieurs invitées aborderont les questions de santé, de violence, de pauvreté et d’exclusion et parleront des croisements d’oppressions qu’elles vivent. Cliquez ici pour accéder à l’événement Facebook.

Manifestation régionale du 8 mars

Le RGF-CN vous invite également à manifester le 8 mars pour revendiquer une société plus juste, plus égalitaire, plus verte! Le rassemblement aura lieu à 18h30 dans le stationnement du Patro Rocamadour à Limoilou (2301, 1re Avenue). Cliquez ici pour accéder à l’événement Facebook.

 

Quelques changements à la convention collective

La signature de la nouvelle convention collective a apporté de nombreux changements qui peuvent avoir une incidence sur le travail des coordinations. Tant les coordonnateurs·trices que les professeur·e·s voudront peut-être obtenir un aperçu de ces modifications qui touchent à des aspects importants de nos conditions de travail.

Quelques faits saillants :

  • Un·e enseignant·e à temps partiel peut devenir enseignant·e à temps complet dans la mesure où il ou elle atteint 50 unités ou plus à l’enseignement régulier et que de la suppléance, des cours d’été ou des cours à la formation continue lui permettent d’atteindre une charge de 80 unités. Auparavant, l’enseignant·e devait cumuler un minimum de 60 unités à l’enseignement régulier.
  • L’ancienneté n’est pas cumulée sur les « autres tâches » liées à l’enseignement, comme la correction ou la RAC.
  • Pour déterminer la priorité d’emploi au début de la session d’hiver, on ne peut pas reconnaître à un·e professeure le cumul de plus de 0,5 ETC à la session d’automne.
  • Des charges d’enseignement peuvent être scindées pour améliorer la situation d’un enseignant non permanent.
  • Les enseignant·e·s ayant cumulé trois années d’ancienneté peuvent demander un congé pour recherche sans salaire.
  • Des ressources sont ajoutées pour la coordination de programmes et pour soins infirmiers.

Pour plus de détails, veuillez consulter le Document d’information aux coordinations départementales et de programmes ou communiquez avec votre syndicat.

 

Manifestation contre l’inaction climatique le 25 mars

Le 25 mars à 13 h, à Québec, devant le Parlement, se tiendra une Manifestation festive contre l’inaction climatique. La journée s’inscrit dans le mouvement mondial Fridays For Future. Elle est organisée par la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES) avec le concours d’autres groupes citoyens et étudiants.

Les revendications de cette journée sont les suivantes :

  • Le REJET PUR ET SIMPLE du projet de 3elien autoroutier entre Québec et Lévis;
  • L’ABANDON du projet de la Zone d’innovation du Littoral Est (ZILE, devenue « InnoVitam »);
  • Une meilleure qualité de l’air pour la ville de Québec;
  • Un plan de justice climatique qui permet d’éliminer la production et la consommation d’énergies fossiles d’ici à 2030 tout en assurant de bonnes conditions de vie à tous et toutes, en passant notamment par la redistribution massive de la richesse.

Si ces revendications vous touchent, inscrivez la date à vos agendas!

 

Solidarité avec l’Ukraine

Depuis le 24 février, les images de l’invasion de l’Ukraine par la Russie font partie de notre quotidien. Nous sommes tou·te·s les témoins des efforts de résistance de la population devant les troupes russes et des désastres humanitaires qui résultent de cette invasion. Dans cette guerre comme dans tant d’autres, les civils ne sont pas épargnés. C’est une population terrorisée par les bombardements qui tente de trouver refuge dans les pays voisins et de mettre ses enfants à l’abri. L’état d’urgence dans lequel ces civils doivent quitter leur pays les place dans une situation d’extrême vulnérabilité.

Afin d’affirmer sa solidarité avec les Ukrainien·ne·s, le SPPCSF a choisi de remettre 500$ à la Croix-Rouge, un organisme capable d’apporter une aide humanitaire sur le terrain. Pour ceux et celles qui seraient désireux·ses d’apporter également leur soutien, vous pouvez contribuer au fonds de secours Crise humanitaire en Ukraine de la Croix-Rouge en cliquant ici.

 

Revue de presse

Dans La Presse, Léa Carrier revient sur le projet de loi pour la protection des stagiaires en milieu de travail adopté par l’Assemblée nationale.

Toujours dans La Presse, la même journaliste indique dans un autre article que les inscriptions aux programmes techniques sont en baisse dans les cégeps.

Patrice Bergeron rapporte dans un article que la Protectrice du citoyen conclut au manque de transparence du programme de prêts et bourses du gouvernement.

Dans les pages du Devoir, Normand Baillargeon réfléchit au sujet de la « lecture sensible », dans un contexte où de grandes œuvres sont retirées des écoles aux États-Unis en raison de la présence du mot en n dans leurs pages ou d’un contenu jugé dérangeant.