Un 1er mai sous le signe de la lutte contre la précarité économique
Dénonçant la précarité économique dans laquelle se retrouve trop de ménages québécois, les grandes centrales québécoises demandent un réinvestissement dans les services publics, des salaires décents et, pour ce faire, que le salaire minimum soit haussé à 15$ l’heure. Ils sont soutenus dans cette dernière demande par une récente étude de l’IRIS qui estime que ce taux horaire constitue un incontournable pour assurer un salaire viable aux ménages québécois.