Les cégeps dans l’actualité
Gouvernance dans les cégeps
L’automne dernier, la Vérificatrice générale avait critiqué la façon dont certains cégeps étaient gérés, plus particulièrement en ce qui concerne les dépassements de coûts et certains «remboursements douteux de comptes de dépense». Hélène David, ministre responsable de l’Enseignement supérieur, a réagi il y a quelques jours en invitant les administrateurs des cégeps à une journée de formation sur la saine gestion des diverses ressources.
Cliquez ici pour lire l’article par à ce sujet dans La Presse…
Relations intimes entre professeur.e.s et étudiant.e.s
Il y a quelques semaines, nous avions relayé des articles concernant les relations intimes entre professeur.e.s et étudiant.e.s en présentant, entre autres, la position adoptée par la FEC à ce sujet. Ces derniers jours, le sujet a refait surface dans La Presse par le biais d’une décision prise en arbitrage : en effet, un arbitre a rendu un jugement à l’effet qu’une institution post-secondaire avait eu raison de remercier un enseignant parce qu’il avait entretenu une relation avec une étudiante (majeure).
Cliquez ici pour lire l’article…
Fragilisation des grands principes de l’enseignement supérieur
Dans la foulée des sujets abordés lors des États généraux de l’enseignement supérieur, tenus à l’Université Laval il y a quelques jours, plusieurs personnes œuvrant dans des exécutifs syndicaux (dont Mario Beauchemin, 3e vice-président de la CSQ et Lucie Piché, présidente de la FEC) ont collaboré à la rédaction d’une lettre d’opinion, parue dans Le Soleil. La lettre tire la sonnette d’alarme à propos des grands principes de l’enseignement supérieur, principalement l’accessibilité et l’égalité, qui sont mis à mal depuis quelques années.
Cliquez ici pour lire la lettre…
Agonie des sciences humaines au collégial
Stéphane Chalifour, professeur au Collège Lionel-Groulx, a écrit la semaine dernière une lettre d’opinion déplorant la logique marchande et le désintéressement programmé qui, selon lui, sont à l’origine de la baisse d’inscriptions dans les programmes de sciences humaines et dans les programmes à propos des humanités en général. Son texte, faisant référence aux préoccupations philosophiques et sociologiques ayant mené à la création des cégeps, voit en la désertion de ces programmes une dérive collective dangereuse.