Note socioéconomique de l’IRIS à propos des conséquences de la grève étudiante de 2012

logo IRISPhilippe Hurteau, chercheur à l’Institut de recherche et d’information socioéconomique (IRIS), a publié la semaine dernière une note faisant le portrait des retombées de la grève étudiante de 2012. Dans son texte, il déconstruit le préjugé à l’effet que ce mouvement de grève sans précédent au Québec n’aurait porté que de très maigres fruits.

En effet, en analysant la facture des droits de scolarité telle qu’elle aurait été si le Parti Québécois n’avait pas annulé la hausse (et procédé à l’indexation), il conclut que grâce à ce mouvement de protestation à grande échelle, le Québec occupe aujourd’hui le deuxième rang dans les provinces canadiennes ayant les droits de scolarité les plus bas aux études supérieures.

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