La précarité au département de français
La précarité est une réalité difficile avec laquelle doivent composer tous les départements, mais elle engendre une situation particulièrement criante année après année au département de français, où elle touche une quinzaine de professeur·e·s.
Il nous apparaît improbable qu’un si gros département ne puisse offrir plus de stabilité à ses professeur·e·s. C’est pourquoi le Syndicat s’est penché sur le dossier et a rencontré la Direction le 31 janvier dernier. Plusieurs pistes ont été soumises afin de diminuer le déséquilibre important entre l’offre de cours à l’automne et l’offre de cours à l’hiver, ce qui aurait pour effet d’amoindrir la précarité systémique à laquelle sont confronté·e·s de trop nombreuses et nombreux professeur·e·s.
Nous espérons compter sur l’appui de la Direction pour trouver de nouvelles solutions qui amélioreront le bien-être de ce département fortement éprouvé par la précarité. Nous continuerons à suivre de près la situation afin que les meilleures conditions de travail possible soient offertes aux précaires.