Suivi du dernier Conseil général de la FEC

FEC-CSQ_V_acron-long_CMYKLes 14 et 15 février derniers avait lieu le Conseil général de la FEC-CSQ. Parmi les sujets abordés lors de cette rencontre, nous avons eu l’occasion de discuter et d’apporter des modifications à un document lançant la première phase de consultation des 2,500 enseignantes et enseignants de notre fédération concernant la prochaine ronde de négociation pour le renouvellement de notre convention collective. L’objectif de cette première phase de consultation est de situer les débuts de notre démarche dans l’actuel paysage socio-politique québécois, d’identifier quelle approche de négociation nous souhaitons mettre de l’avant (traditionnelle ou par objectifs), et de répertorier les enjeux que nous souhaitons privilégier lors de la négociation. Vous serez donc informés de la façon dont nous mettrons en place cette consultation de nos membres. Nous avons également brièvement discuté de l’impasse dans laquelle se trouvent nos discussions pour créer une alliance avec nos collègues de la FNEEQ, ces dernières se butant toujours à l’impossibilité de mettre en place une structure représentative et efficace dans le cadre de cette éventuelle alliance.

Un atelier fut tenu sur la rédaction inclusive, qui couvrait les aspects suivants : la féminisation lexicale, le langage épicène et la communication inclusive. La FEC-CSQ invite ses syndicats à mettre en place des pratiques qui valoriseront cette approche linguistique – une démarche dans laquelle s’est déjà engagé le SPPCSF. (Nous vous reviendrons sous peu sur l’évolution de nos démarches dans ce dossier.)

Le Conseil général a également été l’occasion de former un comité ayant pour mandat de réfléchir à des façons d’améliorer nos pratiques syndicales à la FEC-CSQ. Votre humble président participera aux travaux de ce comité.

Nous avons par ailleurs discuté de ce qui était au programme pour le congrès de juin, qui mettra l’accent sur l’action syndicale, l’exercice de la profession enseignante et les limites de la liberté d’expression à l’aire du numérique.