Prochaine assemblée et dates à inscrire à votre agenda
RAPPEL - CONVOCATION À UNE ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Nous sommes très heureuses et heureux de vous convier à la cinquième assemblée générale de l’année 2021-2022 du Syndicat des professeures et professeurs du Cégep de Sainte-Foy (SPPCSF)
Mercredi 2 février 2022 à 12 h 10
Sur Zoom
Lors de cette assemblée, il sera question de l’application de la loi 101 au niveau collégial, d’une proposition au sujet du financement des solidarités externes et internationales, d’un avis de motion à venir sur le moment de la présentation des prévisions budgétaires et d’une élection partielle au comité sur la persévérance des étudiant·e·s issu·e·s des Premières Nations et inuit·e·s.
Vous trouverez le lien pour assister à la réunion dans le courriel de convocation du 26 janvier.
Nous espérons vous retrouver en grand nombre!
DATES DES PROCHAINES ASSEMBLÉES : À INSCRIRE À VOTRE AGENDA!
Nous comptons sur votre présence aux assemblées générales de la session d’hiver. Entendre vos préoccupations, connaître vos positions sur les enjeux qui vous concernent, vous tenir informé·e·s sont pour nous des priorités au cœur de notre engagement. Pour l’instant, les assemblées se dérouleront à distance en raison des mesures sanitaires en vigueur, mais nous vous tiendrons au courant des assouplissements qui pourraient survenir et qui permettraient une modification du mode de participation (mode « présentiel » ou hybride).
Voici donc les dates à retenir :
- 2 février : 12 h 10 à 13 h 45
- 2 mars : 12 h 10 à 13 h 45
- 13 avril : 12 h 10 à 13 h 45
- 18 mai : 12 h 10 à 14 h 50
Enfin un dénouement pour la grève de 2005!
« Il n’était pas trop tôt! » aurez-vous envie de nous dire? Ce serait facile de vous donner raison puisque cette grève a eu lieu il y a 17 ans et que de nombreuses autres ont eu lieu depuis le temps.
Mais ça aura valu la peine d’être patient·e·s! Après deux ans d’audiences, la sentence arbitrale est arrivée comme un cadeau de Noël dans le temps des fêtes. Un magnifique document de 24 pages confirmant que « les professeur·e·s qui ont repris leurs cours lors des journées de reprises des 17, 18, 24 et 6 mai 2005 doivent être rémunéré·e·s en conséquence ».
Cette victoire est d’autant plus savoureuse sachant qu’à l’approche des audiences, il y a deux ans, le Syndicat et la Direction avaient tenté un règlement à l’amiable et que la recherche de compromis n’avait pas porté fruit.
Cela signifie que tous ceux et celles qui enseignaient à l’hiver 2005 devraient recevoir une rémunération pour l’équivalent des heures cours, stages et laboratoires repris pendant les trois journées et demie de grève en 2005, oui oui! Et même les personnes qui sont maintenant à la retraite. Ne vous en faites pas, nous avons les horaires de tou·te·s les profs pour la session d’hiver 2005.
Vous vous en doutez bien, il reste un travail de moine à faire. Nous serons en discussion avec la Direction dans les prochaines semaines sur la manière de calculer les heures à rémunérer aux profs, sur la question des intérêts, et sur la manière de rejoindre les personnes concernées et de verser les sommes dues.
Donc, n’attendez pas cette somme sur votre prochaine paie, mais comptez sur nous pour mettre de la pression pour que ça ne traine pas pendant de longs mois. Croyez-nous, nous sommes impatient·e·s nous aussi de pouvoir enfin tourner la page sur ce vieux litige!
Pour le moment, réjouissons-nous! Un immense merci à toutes les personnes qui ont participé à la préparation et à la défense de ce dossier, que ce soit les anciens membres de l’exécutif, les coordinations de département et de programme qui ont été sollicitées pour fouiller dans leurs vieux documents, et bien sûr à nos six précieux témoins qui se sont prêtés au jeu devant l’arbitre. Nous voulons également souligner le travail colossal de Claudine Morin, avocate à la CSQ, qui nous a représenté·e·s dans ce dossier.
Une pétition pour obtenir des bourses en Techniques de travail social
Tout récemment, le gouvernement a mis en place un programme de bourses visant à contrer la pénurie de main-d’œuvre dans certains domaines, en offrant aux étudiant·e·s du collégial (et de l’université) des montants allant jusqu’à 9000$.
Or, malgré le manque flagrant de personnel dans ce secteur, il n’a pas été jugé bon d’inclure le programme de Techniques de travail social dans les programmes ayant accès aux bourses.
En pleine pandémie, il ne fait aucun doute que les techniciennes et techniciens en travail social sont des ressources précieuses et recherchées, tant dans le système public que dans le communautaire. Le gouvernement dit pour l’instant couvrir des secteurs « stratégiques », soit la santé, l’éducation, les services à l’enfance, le génie, les technologies de l’information et la construction.
Une réalité que nous vous invitons à dénoncer en signant la pétition suivante.
Merci à toutes et tous pour votre soutien!
Revue de presse
Radio-Canada rapporte dans un article que les professeur·e·s de l’Université de Montréal ne seront plus obligé·e·s de porter le masque de manière ininterrompue pendant leurs cours magistraux. Le masque doit être retiré pour la plus petite période possible, ce qui peut couvrir les exposés magistraux, tranche le recteur Daniel Jutras.
Dans Le Journal de Québec, Patrick Bellerose souligne l’appui de quatre cégeps francophones supplémentaires à l’imposition de la loi 101 au niveau collégial. Il s’agit des cégeps Montmorency, de Bois-de-Boulogne, de Maisonneuve et de La Pocatière. D’autres votes sont à venir.
Toujours dans Le Journal de Québec, Dominique Scali confirme que les enseignant·e·s ont accès aux centres de dépistage de COVID-19, si elles et ils sont symptomatiques. Dans un autre article, l’UNESCO souligne le fait que la crise sanitaire a ébranlé le monde de l’éducation, et répète à quel point l’ouverture des écoles est importante d’un point de vue social.
Jean-Louis Bordeleau signe, dans les pages du Devoir, un article sur les conditions difficiles de la gestion de la pandémie en classe, conditions critiquées par les syndicats, qui craignent l’épuisement des enseignant·e·s.
Enfin, dans son éditorial publié dans La Presse, Alexandre Sirois s’interroge sur la trop faible valorisation de la profession enseignante.