Grande fête des travailleuses et des travailleurs 

N’oubliez pas : ce mercredi 1er mai, de 12 h 30 à 15 h 30, rejoignez-nous pour la grande fête des travailleuses et des travailleurs du cégep de Sainte-Foy, organisée par les syndicats du collège avec l’appui de la direction.  

Dans une atmosphère festive, venez savourer de délicieux hot-dogs et écouter le fabuleux groupe de Pierre-Luc Asselin. Si vous avez besoin d’un peu de caféine pour tenir en cette fin de session qui s’amorce, vous pourrez déguster un café bien chaud!

Nous espérons vous voir en grand nombre devant la salle Albert-Rousseau!

En cas de pluie, le spectacle aura lieu à l’intérieur, au Café Wazo.  

 

Élections du 15 mai aux différents comités 

Même si un soubresaut de l’hiver nous a saisi.es la semaine passée, le printemps s’est bel et bien installé. Avec lui viennent la lumière estivale, la chaleur et… les élections aux différents comités! 

Vous avez envie de vous engager auprès des collègues pour avoir un effet direct sur notre environnement de travail? N’hésitez pas à soumettre votre candidature. Une nouveauté s’offre à vous cette année : le comité des Statuts et règlements du SPPCSF. Pour plus de détails, consultez le courriel du 29 avril.   

Liste des comités :  

Comités paritaires et comités formés par le collège : 

  • Comité de perfectionnement (3 représentant.es)   
  • Comité santé et mieux-être au travail (2 représentant.es)  
  • Comité d’action et de concertation en environnement (2 représentant.es)  
  • Comité santé et sécurité au travail (2 représentant.es)  
  • Comité de prévention du harcèlement et des violences à caractère sexuel (1 représentant.e) 
  • Comité des cours complémentaires (1 représentant.e provenant de la commission des études) 
  • Comité sur la réussite des étudiant.es autochtones (3 représentant.es) 
  • Jury local AQPC-OEEQ (2 représentant.es) 
  • Comité d'éthique de la recherche (1 représentant.e - mandat de deux ans) 

Comité de la formation générale : 

  • Comité de la FG (2 représentant.es, dont un.e provenant du secteur préuniversitaire et un.e du secteur technique)
    * Les représentant.es seront recommandé.es par le comité de la FG et entériné.es par l'assemblée générale 

Comités syndicaux : 

  • Comité d'action féministe du SPPCSF (1 représentante)  
  • Comité d’information et d’action sociopolitique du SPPCSF (1 représentant.e) 
  • Comité des Statuts et règlements du SPPCSF (2 à 4 représentant.es)  

 

Groupes de discussion sur la lourdeur de la tâche 

Comme vous le savez, le syndicat travaille à cibler des aspects précis sur lesquels agir pour amoindrir la lourdeur de la tâche dont témoignent un grand nombre de profs.

On a donc besoin de votre aide pour réfléchir à cet enjeu.  

Il nous manque 3 à 4 volontaires dans les groupes de discussion suivants :  

  • Techniques de la santé, le 28 mai de 12h à 17h; 
  • Techniques humaines et domaines artistiques, le 3 juin de 9h à 13h; 
  • Formation préuniversitaire en sciences humaines et formation générale, le 4 juin de 9h à 13h.  

Faites-nous signe si le sujet vous interpelle! 

 

Retard injustifié dans le versement de la contribution de l’employeur au régime d’assurance 

Le 1er avril devait marquer le début de la contribution patronale à nos assurances collectives. Cette contribution s’élève annuellement à 150 $ pour un régime individuel et à 300 $ pour un régime familial (environ). Le montant est faible, mais il a une portée symbolique importante : il s’agit d’un premier gain en cette matière depuis longtemps. 

Cette contribution (qui se serait chiffrée à 12 $ pour plusieurs d’entre nous) n’a toutefois pas été versée lors de notre dernière paie. Il en va de même pour les ressources issues de la négociation nationale : la répartition de la tâche a lieu sans elles, la signature de la convention se faisant attendre, une attente d’autant plus désolante que les sommes sont consenties et qu’elles doivent servir à alléger la tâche enseignante : c’est ce pour quoi nous nous sommes battu.es.  

La partie patronale fait toutefois traîner la situation en longueur, situation qui semble d’autant plus absurde et injuste que les autres corps d’emploi, eux, ont déjà obtenu certaines ressources et leur hausse de la contribution de l’employeur à leur régime d’assurance.  

Pourquoi la signature la convention doit-elle suivre le même chemin tortueux, épuisant, désengageant que celui des négociations? Quelles économies de bouts de chandelles la partie patronale cherche-t-elle à faire en retardant ces versements, et à quel prix? Comment une « saine gestion » peut-elle se faire au prix du bien-être des professeur.es?  

On nous demande du dévouement, du bénévolat. On nous demande d’adhérer au projet éducatif et à la vision de notre établissement. On nous demande de la passion, un engagement indéfectible pour la réussite, des actions pédagogiques à impact élevé. Mais quand vient le temps de nous octroyer ce à quoi nous avons droit, là, il n’y a pas d’urgence.  

On oublie que l’éducation se fonde sur un lien humain, et que l’épuisement, la démotivation, la frustration ne sont pas sans conséquences sur les humains que nous sommes. Retrouver la fierté d’appartenir à une institution d’enseignement, cela passe nécessairement par une pleine reconnaissance financière de notre travail ainsi que par une amélioration des conditions dans lesquelles il s’effectue.   

La CSQ produit présentement un avis juridique en raison de l’absence de contribution de l’employeur à nos assurances collectives lors de la dernière paie. Il est possible que la situation donne lieu à des griefs.  

Nous vous tiendrons informé.es de la suite.  

 

Revue de presse 

Notre collègue Patrick Desrochers a participé à une discussion organisée par la CSQ pour déjouer les stéréotypes liés à la profession d’éducateur à l’enfance : Petite enfance: deux hommes et plusieurs couffins! – Centrale des syndicats du Québec (CSQ) (lacsq.org) 

La Fédération des cégeps souhaite revoir la formation continue afin d’en faciliter l’accès. Elle désire ainsi combler rapidement les besoins en main-d’œuvre :  Il y a « urgence » de revoir la formation continue des travailleurs, dit la Fédération des cégeps | Le Devoir 

En matière d’IA dans les sphères de l’éducation supérieure, le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) et la Commission de l’éthique en science et en technologie (CEST) demandent au gouvernement une réglementation (et surtout de la prudence) : L’IA générative, une autoroute à réglementer en enseignement supérieur | Le Devoir. Vous pouvez consulter ici le rapport du CSE sur l’IA : Intelligence artificielle générative en enseignement supérieur : enjeux pédagogiques et éthiques - CSE (gouv.qc.ca) 

Des jeunes de Vaudreuil-Dorion ne voient pas l’utilité de parler français et préfèrent avoir recours à l’anglais, même si, pour certain.es, le français est leur langue maternelle : Le français boudé dans des écoles: «C’est juste “inconvenient” pour moi» | JDQ (journaldequebec.com) 

L’anglicisation des élèves semble de plus en plus difficile à contrer, alors que la vie numérique se déroule presque exclusivement en anglais : François Legault a manqué de courage sur la loi 101 au cégep | JDQ (journaldequebec.com) 

Dans sa chronique, Normand Baillargeon expose l’importance de tenir compte de la charge cognitive en enseignement, et rappelle le peu d’informations nouvelles que la mémoire de travail peut enregistrer à la fois (environ 7 informations) : Enseigner avec Sweller | Le Devoir 

La surcharge de travail nuit au rendement des employé.es et menace leur équilibre. L’article de Maude Goyer propose entre autres comme solution à l’hyperconnexion la pratique de l’ennui volontaire, pour offrir une pause à notre cerveau et retrouver notre concentration: Vie au travail | Les dangers du surmenage | La Presse 

Vous pouvez consulter le bulletin des actualités de la CSQ en cliquant ici : Ma CSQ cette semaine.